L’Adour ramène à l’océan l’eau tombée des montagnes. Quand elle est trop chargée, qu’elle en a par dessus la tête, elle pose un moment son fardeau dans les Barthes.  Elle inonde ces prairies voisines sans se soucier des chevaux qui y vivent. Remercions Dieu qu’ils soient rustiques.

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